09 octobre 2003, 0h00
Partager
La Commission européenne, hier, a manié le bâton avant, sans doute, de tendre une carotte à Paris le 21 octobre. Bruxelles a invité les Quinze à constater que la France n’a pris «aucune action suivie d’effet» en vue de réduire son déficit public sous le seuil de 3% du son produit intérieur brut. Mais de là à préconiser que soient imposées des sanctions financières contre le mauvais élève de la zone euro, il y a un pas que seuls les Pays-Bas, l’Autriche et la Finlande sont prêts à franchir. La «r...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT