24 septembre 2004, 0h00
Partager
Entre Bruxelles et Ankara, c’est le dégel. Après avoir reçu l’assurance, hier, que la Turquie reformera son code pénal et ne criminalisera pas l’adultère, la Commission européenne recommandera très certainement aux Vingt-Cinq, le 6 octobre, d’ouvrir avec ce pays des négociations d’adhésion à l’Union. Au Parlement européen, la résistance s’organise, toutefois.
Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a effectué hier une visite à Bruxelles, où l’attendaient de pied ferme le président de la C...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT