04 juillet 2001, 0h00
Partager
Les 21 membres de la Commission nationale d’éthique pour la médecine humaine ont été nommés hier. Il y a onze femmes et sept romands. Aux spécialistes de l’éthique se joignent des professionnels de la santé, des sciences naturelles et sociales, du droit. Des «conservateurs» et des «progressistes» s’y côtoient pour nourrir le débat, a précisé Ruth Dreifuss.
Car, dans des domaines aussi sensibles que la fécondation «in vitro», la transplantation d’organes, les interventions génétiques, le clonage ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT