22 février 2008, 0h00
Partager
«Les investisseurs qui parient sur une baisse des taux se fourvoient», déclarait Axel Weber la semaine dernière. Considéré comme le représentant de la minorité en faveur d’une politique monétaire restrictive – voire l’unique faucon de la Banque centrale européenne – l’Allemand n’était que peu pris au sérieux lorsqu’il soulignait que le marché négligeait la détermination de l’institution à empêcher une spirale des prix. Pourtant, ces derniers jours, bon nombre d’économistes se sont ralliés à son ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT