26 mars 2007, 0h00
Partager
Bruno Bertez
L’appétit, ce fameux appétit, est revenu. Au passage, nous ne résistons pas au plaisir de critiquer cette expression car il est bien évident que d’appétit il n’y a pas. Nous sommes dans une situation qui se compare plutôt au gavage des oies. La surabondance des liquidités, l’excès d’épargne comme on qualifie le phénomène, oblige les investisseurs à monter dans l’échelle du risque pour obtenir une rémunération satisfaisante face à la baisse des occasions rentables d’investissements ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT