28 janvier 2004, 0h00
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En prenant fait et cause pour la Chine, notamment face à Taiwan, le président français Jacques Chirac qui lorgne sur le riche marché chinois a prêté le flanc mardi à ceux qui l’accusent de cynisme voire d’erreur de calcul.
Mais, sa politique de «convergence» avec Pékin a été saluée dans les rangs de sa majorité ainsi que dans ceux de l’opposition comme l’approche juste pour faire progresser vers la démocratie le plus grand pays du monde.
Recevant son homologue chinois Hu Jintao, M. Chirac ...
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