16 août 2001, 0h00
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«Nous avons fait tellement de promesses. Maintenant, il faut les tenir.» Georges Milne, vice-président de Pfizer en charge de la recherche et des alliances, n’est de loin pas le manager le plus arrogant de l’industrie pharmaceutique mais il prend sa part des excès de ses dernières années. Au cours de son exposé devant les quelque 4000 visiteurs du salon «Drug Discovery 2001» au World Trade Center de Boston, il va même un peu plus loin en indiquant ce que son entreprise, sans doute la plus respec...
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