• Vanguard
  • Changenligne
  • FMP
  • Rent Swiss
  • Gaël Saillen
S'abonner
Publicité

La chasse au crime imaginaire

MINISTÈRE PUBLIC. La tourmente qui touche l’autorité de poursuite pénale résulte d’une surestimation de la criminalité en Suisse.

16 juin 2011, 0h00
Partager
C'est un nouveau revers pour l'autorité de poursuite pénale de la Confédération. La non-réélection du procureur général Erwin Beyeler, hier par l'Assemblée fédérale, est le résultat de la méfiance du Parlement envers un homme symbolisant tant les échecs que les faiblesses institutionnelles du Ministère public de la Confédération (MPC). Paradoxalement, c'est la réforme nommée «projet d'efficacité»;, entrée en vigueur il y a presque dix ans, qui a plongé le MPC dans une tourmente dont il n'est plu...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT

Plongez-vous dans l’actualité des entreprises, de la finance et de la politique