09 novembre 2005, 0h00
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C’est la «mère de toutes les réformes» pour les négociateurs, qu’ils soient de gauche ou de droite. La réforme du fédéralisme allemand, imposé à l’origine par les puissances occupantes, vécu par la République de Bonn comme un des atouts du système, avant d’être identifié comme une source de blocage politique.
Le gouvernement «rouge-vert» de Gerhard Schröder et l’opposition conservatrice d’Angela Merkel s’étaient déjà attelés à la tâche, mais en vain. Cette fois, c’est la percée, paradoxalement ...
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