23 août 2000, 0h00
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Un titre sur cinq se négocie à l’étranger et la fuite s’accélère. L’avenir même de la Bourse suisse est menacé et, à travers elle, non seulement la place financière suisse perdrait un maillon indispensable, mais toute l’économie en pâtirait. Car les entreprises auraient davantage de difficultés à trouver des capitaux frais, ce qui est d’autant plus indispensable que la reprise pointe et que les banques hésitent à accorder des crédits.
La fuite du chiffre d’affaires sur les titres suisses a attei...
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