05 décembre 2005, 0h00
Partager
Près d’un an après sa mise en route au sein de l’Union européenne, le système d’échange de quotas d’émissions de gaz à effet de serre, plus connu sous son acronyme anglais «ETS», comptabilisait 45 milliards d’euros d’actifs. Au sein de ce négoce – imposé par l’UE à quelque 12.000 installations industrielles – le secteur de la chaleur-électricité se taille la part du lion, puisqu’il recueille 53% des quotas d’émissions alloués. Un secteur qui risque pourtant de payer cher sa participation. Selon ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT