10 mai 2001, 0h00
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Les Vaudois devront ainsi se prononcer, en principe en septembre, sur le désengagement partiel de l’Etat dans le capital de leur banque cantonale. Le comité référendaire est donc parvenu à ses fins. En abaissant sa participation de 51% à 33%, le canton permettrait à la banque de trouver un nouvel actionnaire stratégique. Il s’agit donc d’une privatisation partielle. Les opposants estiment que l’Etat abandonnerait de facto son droit de regard sur la mission assignée à la BCV, notamment en matière...
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