04 juillet 2008, 0h00
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«C’est Taylor que l’on assassine!» La décision de la Banque centrale européenne (BCE) de relever son taux directeur de 25 points de base à 4,25% hier n’a pas manqué de susciter de virulentes réactions. Confrontée à un indice des prix atteignant 4% en juin – le niveau le plus élevé en 16 ans – et des attentes d’inflation qui redécollent, la BCE a préféré occulter le ralentissement économique de la zone euro, comme elle l’avait déjà évoqué lors de sa réunion du mois passé. Elle a eu raison, juge J...
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