19 mai 2011, 0h00
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Face à une crise de la dette grecque qui dure, la Banque centrale européenne (BCE) se cramponne à l'idée qu'une restructuration, même «douce»; comme envisagée désormais par des responsables européens, causerait plus de tort que de bien à la zone euro.Hier, son chef économiste Jürgen Stark a usé du terme «catastrophe»; pour évoquer une telle éventualité, jugée inéluctable par les marchés et nombre d'économistes. Ceux-ci estiment qu'Athènes n'est plus capable d'honorer des dettes qui devraient pes...
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