13 novembre 2006, 0h00
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C’est devenu monnaie courante, voire même une habitude. Les dirigeants politiques ne seront jamais satisfaits des banques centrales. Il en va ainsi de la Banque Centrale Européenne (BCE) qui s’est invitée dans la précampagne française en vue de la présidentielle de l’année prochaine. Nicolas Sarkozy a relancé le débat sur l’euro fort. Un thème qui ressemble furieusement aux critiques que le candidat Jacques Chirac lançait, en 1994, contre Jean-Claude Trichet (déjà), alors qu’il était gouverneur ...
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