13 janvier 2004, 0h00
Partager
La Banque centrale européenne a haussé le ton lundi concernant l’envolée de l’euro en se disant pour la première fois «préoccupée», alors qu’elle fait l’objet de pressions politiques grandissantes pour stopper l’appréciation de la devise.
«Nous sommes préoccupés, nous ne sommes pas indifférents», a déclaré son président, le Français Jean-Claude Trichet, lors d’une conférence de presse à Bâle en Suisse où il s’exprimait en tant que porte-parole des banquiers centraux du G10 réunis dans le cadr...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT