02 décembre 2005, 0h00
Partager
L’économie mondiale demeure florissante en dépit du choc pétrolier, justifiant la tendance générale aux hausses de taux d’intérêt, et la BCE, en faisant de même malgré la faiblesse de la zone euro, ne fait que réduire un décalage devenu trop voyant, selon des économistes. Comme prévu, la Banque centrale européenne a augmenté jeudi son taux directeur d’un quart de point à 2,25% et fait fi des réprobations d’un monde politique européen inquiet de ses répercussions sur l’économie du Vieux continent...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT