25 janvier 2000, 0h00
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Que ce soit aux Etats-Unis, où la demande intérieure est dopée par les gains en bourse, ou en Europe, où la reprise apparaît de plus en plus affirmée, les marchés obligataires sont toujours sous pression.
La hausse des prix de l’énergie n’a évidemment pas calmé les esprits. Un baril à 30 dollars n’est certes pas une source de renchérissement contre laquelle la Réserve fédérale peut lutter, mais il crée un climat propice à l’émergence de tensions inflationnistes dans l’économie, et notamment sur ...
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