11 avril 2008, 0h00
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JOHANN HARSCOËT
À LONDRES
Ce n’est pas une surprise, mais la décision de la BCE de maintenir son principal taux directeur à 4% ne fait pas que des heureux. Les dirigeants des principaux pays de la zone euro, au premier rang desquels le président français Nicolas Sarkozy, pestent depuis des mois, voire des années, pour obtenir une réduction d’un taux qui n’a plus baissé depuis juin 2003, et qui freine le commerce extérieur.
L’euro a d’ailleurs atteint hier un nouveau record historique, a...
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