13 mars 2000, 0h00
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Une chose frappe lorsque l’on examine l’évolution des résultats de la Banque Cantonale de Genève (BCG): une stagnation de ses fonds propres, du fait d’une rentabilité d’exploitation trop basse, et de la capitalisation boursière ces dernières années. En clair: un manque de création de valeur de la banque et de celle revenant à ses propriétaires, à savoir l’Etat et les détenteurs de bons de participation (voir également l’article d’Edouard Bolleter en page 7). La Banque Cantonale du Valais et la B...
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