22 novembre 2004, 0h00
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Pendant que le secrétaire général accompagnait le Conseil de sécurité des Nations Unies en Afrique, le feu couvait au siège de l’organisation internationale à New York. En son absence, le «patron» Kofi Annan essuyait hier la fronde du personnel syndiqué qui, pour la première fois dans les annales de l’ONU, s’apprêtait à voter une «motion de censure» à son encontre en l’accusant d’avoir couvert deux hauts responsables dans des affaires de harcèlement sexuel ou de favoritisme.
Une affaire qui dis...
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