27 février 2004, 0h00
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Il n’est pas content, Klaus Jacobs. Mais alors, pas content du tout. Lui qui comptait sur les déboires au sein de la direction d’Adecco pour remettre le géant du travail temporaire au pas, via une entrée dans son conseil d’administration, hérite d’un cadeau empoisonné. Le financier allemand obtient bien une place au cénacle mais devra partager cet insigne honneur avec son rival de toujours et pourtant condisciple dans le mariage d’Adia et d’Ecco en 1996, le français Philippe Foriel-Destezet. Des...
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