24 mars 2004, 0h00
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La campagne pour les présidentielles américaines en est toujours à la phase des bilans. Probablement pour éviter de s’exposer à une attaque, aucun projet n’est, à ce point, clairement exprimé, que ce soit en politique étrangère ou en économie (lire le commentaire ci-contre). Pourtant, au-delà des rodomontades partisanes des deux camps, les marchés financiers commencent à évaluer ce qui les attend en cas de victoire de Bush ou de Kerry.
Les traditions se perdent
Que ce soit parce que les produi...
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