15 mai 2001, 0h00
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Les fantômes s’adaptent à l’ère numérique et viennent vampiriser les vivants via internet dans Kairo de Kiyoshi Kurosawa, dont le film présenté au festival de Cannes porte un regard angoissant sur le malaise de la société japonaise. Solitude, absence de communication, suicides, sont les virus qui gangrènent l’univers fantastique et noir de «Kairo», un film qui annonce une apocalypse planétaire.
Kiyoshi Kurosawa (sans lien de parenté avec Akira Kurosawa) s’est fait un prénom en Occident avec Cure...
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