19 octobre 2004, 0h00
Partager
Il ne s’était jamais rendu en Libye. Aucun de ses prédécesseurs n’avait du reste entrepris ce voyage. Mais Gerhard Schröder n’a pas eu besoin d’un séjour de plus d’une journée à Tripoli pour se déclarer impressionné par l’évolution de la Libye. Un pays qui, il y a juste un an, figurait sur la liste noire des Etats voyous juste bons à vivre sous embargo international et qui, aujourd’hui, se voit courtisé par toutes les grandes puissances économiques. Avant le chancelier allemand, Silvio Berluscon...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT