07 mai 2001, 0h00
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Voici une ou deux décennies, la politique de communication des banques centrales se résumait à deux mots: silence radio. Les institutions agissaient, et l’interprétation de leurs faits revenait aux «Fed-watchers» et autres «Buba-Beobachter», le plus souvent pour le compte des banques. Puis est venu le besoin de parler, de communiquer. Aujourd’hui les banquiers centraux s’interrogent: comment le faire? Jusqu’à quel niveau? Faut-il tout dire ou un certain mystère doit-il subsister?
Réunis ce vendr...
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