18 juillet 2003, 0h00
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C’est un peu l’histoire du franc symbolique: après avoir développé fortement une activité au sommet du cycle boursier, c’est-à-dire à la fin des années 90, le groupe Julius Baer est soulagé aujourd’hui de se débarrasser de la source de perte (20 millions au premier semestre 2003) qu’est devenu le courtage de titres destinés aux investisseurs institutionnels («brokerage») en trouvant un repreneur. Ce dernier est la firme américaine de private equity Lightyear Capital.
Julius Baer doit en même ...
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