21 février 2005, 0h00
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Une maladie transforme. Physiquement d’abord. Il y a deux mois, Jean-Philippe Maitre arborait encore une épaisse chevelure noire, anoblie par quelques fils blancs. Maintenant, le gris domine dans ce qui reste de ses cheveux, coupés à ras du crâne. Puis tout d’un coup, on est frappé par les yeux d’un bleu pétillant dont on n’avait jamais remarqué la couleur auparavant. Et on comprend que la transformation n’est pas que physique, que quelque chose change vraiment tout au fond de cet homme.
Jean-P...
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