15 novembre 2005, 0h00
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Pourquoi parler de paradoxes? Parce que les Genevois, c’est bien connu, sont turbulents, incohérents, bref, ingouvernables. En outre, ils ont la réputation d’être d’affreux râleurs et, s’il y a une raison de râler en Suisse, on la trouve dans les coûts sans cesse croissants de l’assurance maladie. A priori, tout gouvernant qui accepte d’être responsable de la Santé devrait se faire jeter hors d’un Exécutif après un seul mandat, puisque la tendance à faire de lui un bouc émissaire est pratiquemen...
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