13 avril 2004, 0h00
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Qu’un grand patron, un capitaine d’industrie soit forcé de s’en remettre aux syndicats pour défendre sa stratégie, voilà qui ne manque pas de sel. Bien sûr, ce n’est pas la CGT, la CFDT ou d’autres organisations hexagonales de salariés qui vont dicter la fusion encore possible entre Sanofi-Synthélabo et Aventis mais, dans la lutte de plus en plus difficile que conduit Jean-François Dehecq pour la création de ce «champion pharmaceutique français», elles n’en prennent pas moins une importance rare...
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