19 avril 2007, 0h00
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Ils se prénomment Jean-Claude et prétendent l’un et l’autre incarner l’euro. Le premier au titre de président de la BCE, l’autre en tant que président de l’eurogroupe des ministres des Finances. Hier, c’est Juncker que l’on a entendu s’exprimer. «Les marchés ne devraient pas s’aventurer dans des paris à sens unique», a-t-il estimé. Il reprenait pratiquement mot pour mot une phrase que Trichet avait prononcée le 10 février lors de la réunion du G7 d’Essen en Allemagne.
Jean-Claude Juncker, qui c...
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