11 septembre 2000, 0h00
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Jean-Claude Badoux présente ce paradoxe d’être profondément enraciné en terre vaudoise et d’être lié à un nombre impressionnant d’associations nationales et internationales. Il est une vivante réfutation de cette idée absurde selon laquelle l’attachement à une terre est incompatible avec l’ouverture au monde. Mieux même, en l’écoutant, on a l’impression que, chez lui, cet attachement et cette ouverture se sont constamment nourris l’un l’autre. Aujourd’hui, président du RSI, il est plus engagé qu...
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