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«Je ne perd pas mon sommeil d’accueillir des clients français»

Le secret bancaire, partie intégrante de la sphère privée, doit être défendu et l’impôt sur les gains en capital privé refusé.

27 août 2001, 0h00
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Le Parti libéral suisse, réuni en Congrès à Genève samedi, rejette l’initiative pour un impôt sur le gains en capital qui viendra en votation en décembre et s’est penché sur le problème fondamental de la défense de la sphère privée et, singulièrement, du secret bancaire. Avec en filigrane l’adhésion à l’Union européenne, domaine dans lequel les libéraux donnent un sérieux coup de frein. Pour Jacques Rossier, associé de la Banque Darier, Hentsch et Cie à Genève, président de Place financière Genè...
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