07 juin 2006, 0h00
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Mais les «non» français et néerlandais au projet de traité constitutionnel pour l’Europe l’ont empêché d’accéder à ce poste. Pratiquement, toutefois, cela ne change pas grand-chose pour lui puisqu’il continue à être celui auquel on s’adresse lorsqu’on a besoin des services de l’UE dans les questions de géopolitique. En mai 2000, l’administration Clinton laissait en tout cas clairement entendre qu’à ses yeux il jouait ce rôle puisqu’il «répondait à ce vieux souhait de Henry Kissinger d’avoir un n...
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