04 janvier 2005, 0h00
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On s’imagine trop facilement que les gens qui s’occupent d’opérations humanitaires sont des âmes pures et désintéressées. En réalité, la proportion de pirates et d’arnaqueurs y est pratiquement la même que partout ailleurs. Dès lors, même avec l’humanitaire, il faut mettre en place des systèmes tels qu’ils limitent au maximum la corruption et le gaspillage. Telle sera l’une des tâches de Jan Elgeland, secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et coordonnateur des secours d’urgence de...
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