24 janvier 2006, 0h00
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La surprise a été de taille. Les Français, qui s’étaient profilés comme des champions de la «soft power», c’est-à-dire de la négociation, des consultations multilatérales, du passage obligé par l’ONU, viennent de rappeler au monde qu’ils possèdent une force de frappe nucléaire. On peut se perdre en conjectures sur les raisons de ce revirement, mais une chose est sûre: le Quai d’Orsay aura passé trois ans à énumérer des formules diplomatiques alambiquées pour finalement en revenir à une position ...
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