26 mars 2004, 0h00
Partager
Souvent, la réaction des politiciens après des scandales est de renforcer la réglementation. C’est ce qui se passe, en Italie, suite aux scandales Parmalat et Cirio, qui ont coûté des milliards d’euros aux porteurs d’obligations. Pour tenter d’empêcher, à l’avenir, les abus de confiance lors de vente d’obligations aux petits porteurs, le gouvernement a proposé une loi, qui pourrait, en définitive, presque se solder par l’anéantissement du marché obligataire dans son ensemble. Dans sa version ini...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT