25 février 2004, 0h00
Partager
«La principale surprise de 2004 est qu’il n’y aura pas de nouvelles surprises», indique Jacques Essinger, le CEO d’IsoTis, en se référant aux deux exercices mouvementés de 2002 et 2003. Après une première fusion annoncée au quatrième trimestre 2002 entre le néerlandais IsoTis et la société lausannoise Modex, la nouvelle entité entamait en juin dernier une nouvelle procédure de rapprochement avec l’entreprise américaine GenSci, avec à la clé une seconde fusion conclue à fin octobre 2003. Après ce...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT