21 mars 2000, 0h00
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La Banque centrale européenne a relevé son taux directeur d’un quart de pour-cent jeudi dernier, la Réserve fédérale s’apprête à faire de même. Qu’à cela ne tienne, les marchés obligataires ont choisi de saluer ces gestes «préventifs» par une spectaculaire décrue des rendements.
Difficile à réconcilier avec les développements monétaires, la performance des obligations américaines ne tient pas davantage au message transmis par les indicateurs publiés la semaines dernière. En premier lieu, les ven...
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