13 octobre 2008, 0h00
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Depuis que Pascal Couchepin a lancé le débat sur le relèvement à 67 ans de l’âge de l’AVS, tout le monde ne parle plus que de flexibilité. Il faudrait renoncer à un âge butoir et donner la possibilité aux personnes en pleine forme de rester dans la vie active jusqu’à 70 ans ou de se retirer au début de la soixantaine si elles n’ont plus l’énergie requise par le monde du travail. Voilà pour les grands principes. Ce choix est pourtant limité par des considérations financières évidentes. C’est bien...
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