16 octobre 2013, 23h02
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La Confédération et la quasi-totalité des cantons (sauf Tessin et Soleure) n’ont aucune disposition juridique prévoyant qu’un élu dans un organe exécutif puisse être licencié par ses collègues pour inadéquation, incompétence, incompatibilité de caractères, faute grave, etc. Il n’est pas question que ce genre de contingence, au nom du management, de l’efficacité ou d’une quelconque conformité, se place au-dessus de la volonté populaire exprimée lors des élections. Voilà pour les principes, et ça ...
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