30 octobre 2007, 0h00
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«Tout va bien, mais la situation est grave. » Un oxymoron lancé par Frédéric Bonjour et qui n’a rien de littéraire. L’industrie mécanique helvétique a mal à sa main-d’œuvre. Un péril auquel la Suisse romande ajoute un mortifère déficit d’image. C’est ainsi que l’exaltant secrétaire général du Groupement suisse de l’industrie mécanique (GIM) a fait le point sur une problématique lancinante depuis quelque temps déjà. Un pas de plus a été franchi en mesurant l’étendue des dégâts. Les représentants...
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