22 février 2011, 0h00
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Aucune étude n'a jamais suggéré que le succès des grandes opérations de fusions-acquisitions constituait un indicateur avancé de l'évolution conjoncturelle. Pourtant, on aurait pu s'interpeller puisque constat a été fait pour 2010 du nombre d'affaires ayant échoué. Le chiffre final était pourtant plus haut que 2009 (et bien plus haut). Mais en fait les affaires transfrontalières, de celles qui frappent les esprits, étaient toujours inférieures de moité au niveau de 2007. Deux échecs, dus aux act...
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