02 avril 2009, 0h00
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Stéphane Gachet
Au-delà des chiffres, l’édition 2009 de Baselworld aura marqué un tournant dans le traitement réservé aux indépendants. L’emblème du genre se nomme Watch Factory. Sorte de salon des refusés teinté de fraternité romantique, fomenté par Gregory Pons, animateur du brûlot en ligne Business Montres. La présence de cette petite dizaine de marques - et d’autres, plus individualistes encore, réparties dans les annexes de la foire - démontre que l’horlogerie a sécularisé ses OVNI. Et q...
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