14 novembre 2011, 0h00
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Les anticipations pessimistes des entreprises locales pour les mois de décembre et janvier pourraient n'être qu'une des conséquences négatives, parmi d'autres, de la hausse estivale du franc (l'Agefi du 11 novembre). Les ventes de fin d'année révèleront si les consommateurs ont gardé à l'esprit les écarts de prix élevés enregistrés cet été. Même durant les périodes de croissance économique, l'image des distributeurs suisses souffre d'une réputation de cherté en comparaison avec leurs concurrents...
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