Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
12 avril 2006, 0h00
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La gouvernance des universités suisses est trop faible et ne leur permet plus de réagir assez vite aux évolutions imposées par la concurrence: le système est trop rigide, trop dépendant des pouvoirs politiques aussi, si bien qu’il n’arrive plus à faire de choix ni établir de priorités, notamment en ce qui concerne la recherche. Et sur le plan de l’enseignement, il hésite entre la quantité et la qualité. Faut-il continuer la course au nombre, en séduisant le plus d’étudiants possible, gage de sub...
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