05 janvier 2005, 0h00
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Après avoir passé trois jours plongé dans une littérature qu’on dirait aujourd’hui onusienne, c’est-à-dire pleine de grands projets visant à apporter une solution définitive à tous les maux de la planète, Baudelaire décide d’aller lever le coude dans son cabaret favori. Il s’en approche et aperçoit, assis à côté de la porte d’entrée, un mendiant qui lui tend la sébile. Baudelaire écrit qu’à ce moment une intuition divine s’empara de lui. Au lieu de lui donner une obole, il l’engage dans un comba...
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