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Il est parfois raisonnable d’être paresseux et d’arrêter les transactions

Revenir à sa devise de base est un sage conseil. Les options restent un moyen de se distraire et l’or peut toujours servir de protection.

07 octobre 2005, 0h00
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Pour la première fois depuis longtemps le marché des devises pourrait être durement frappé par les taux d’intérêt. Le CHF peut sembler marginal mais peut-être pas de ce point de vue. La statistique est même l’une des plus pures. A mi-juillet, le LIBOR, ou taux du marché des eurodevises, à un an était à 0.7480. Aujourd’hui on est à 1.10. Cela frôle les plus hauts niveaux sur deux ans. Le plus haut était à 1.1150 le 30 juin 2004. Si l’on passe le niveau de 1.11 on pourrait aller rapidement à 2. Il...
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