11 août 2005, 0h00
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La victoire de son parti aux élections municipales est signe annonciateur, parmi d’autres, d’une probable déstabilisation de toute la région.
Après Nasser, Perón et d’autres leaders nationalistes dont le charisme n’a servi qu’à appauvrir leurs pays, après la fin du soutien que Moscou leur apportait avant la chute du mur de Berlin, on espérait qu’en plusieurs parties du monde émergeraient des gouvernants conscients de certaines réalités économiques élémentaires. Restait, certes, Fidel Castro, ma...
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