05 septembre 2006, 0h00
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[…] La partie la plus tragique du document concerne pourtant Moubarak lui-même. On y trouve une anecdote, tout à fait crédible, sur une réunion du président avec des officiers de la Troisième armée, il y a deux ans. De jeunes officiers se sont plaints de la corruption, et Moubarak les aurait apparemment surpris en répondant qu’il savait pertinemment que bon nombre de dirigeants du pays étaient des voleurs, mais pensait qu’ils avaient assez volé pour être satisfaits. Il craignait que le fait d’av...
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